Et je n'ai pas honte... belles socquettes... une casquette digne du bar de la marine...et une petite paire de sandalette à rendre jaloux le plus riche des spartiates. Pagnol m'inspirait...en 1968 et les parties de pétanque qui suivaient le mois de mai étaient déjà "un pavé dans la mare" Les vacances chassées les belles idées printanières. Les congés payés de 1936 servaient aux ouvriers à oublier...

Sa miaule et sa ronronne à chaque époque...
Chez nous ces plutôt chat de gouttière...

Le petit est parti... mais Charlotte est arrivée...

Ton époque moyênageuse... visite des musées, des châteaux...
Essaie de garder toute les valeurs de la chevalerie...

De mes deux pelles à tarte, entouré de mes soeurs et cousines,
je croque ma part du gâteau...
Essayons d'en laisser aux autres !

A voir ta tête, tu es comme papa... l'obligation d'apprendre ce que tu n'as pas choisi, ne te passionne pas. Comment devenir un cancre intelligent ?
(référence à ma chanson préférée "Le cancre" de Leny Escudero)

Et tu ne savais pas encore que quinze ans après,
Erasmus te ferais affronter l'hiver finlandais...

Je ne suis pas contre les religions, bien au contraire, si celles ci peuvent contribuer à améliorer la condition humaine pourquoi pas ?
L'égalité, le partage, la justice... la vraie, la solidarité, l'entraide... si ses mots participent concrètement à chaque théologie...
J'espère que là ou tu es... en compagnie de nos amis perdus... tu recommences à sourire à rire à semer autour de toi une joie de vivre dans l'au delà...

Allant par  les venelles, nous menant vers l’azur
sentiers salinés, souvenir de Noé
Les senteurs du passé, par les fleurs oubliées
réveillent des instants de saveurs retrouvées.
Douceurs à venir ou douleurs destinées
fièvre partagée, frisson d’éternité...

avec Oxford...
Ils regardent Gina
vers le paradis des chats